Si la création pure offre de nombreuses possibilités en termes d’agencement et d’organisation, la reprise permet de bénéficier d’une expertise et d’une notoriété locale déjà acquises, notamment dans le cas du départ d’un concessionnaire à la retraite. Découvrez les principales différences entre ces deux stratégies pour faire le bon choix.
Un projet adapté à chaque profil
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les concessionnaires qui composent le réseau Arthur Bonnet n’étaient pas tous issus initialement du secteur de la cuisine. De plus en plus d’entrepreneurs venant d’autres univers rejoignent le réseau depuis quelques années. Des candidats attirés par le
positionnement unique de la marque - son expertise reconnue sur le marché de la cuisine depuis 1927 et ses produits exclusifs fabriqués en France - et séduits par la formule de la
concession présentant de nombreux avantages en comparaison avec la
franchise.
Même s’il n’existe pas de parcours type, un candidat ayant une expérience du métier de cuisiniste souhaite souvent
ouvrir un magasin alors qu’une personne hors-univers préfèrera dans la plupart des cas
reprendre un point de vente déjà existant. Un professionnel de la cuisine a en effet souvent le souhait de créer un véritable projet de A à Z et son expérience du métier lui permet d’appréhender aisément toutes les
étapes de création du magasin : choix et agencement du local, constitution de l’équipe de vente, gestion… Pour exemple, les
concessionnaires du magasin Arthur Bonnet d’Angers ont vendu de nombreuses marques de cuisines pendant plusieurs années sur des salons nationaux et internationaux avant d’ouvrir leur propre magasin Arthur Bonnet avec succès.
De son côté, la reprise offre de nombreux avantages pour des
entrepreneurs hors univers car elle permet d’ouvrir un magasin tout en bénéficiant de sa
notoriété acquise ainsi que d’un
portefeuille clients et d’une
équipe de vente déjà constitués. Outre les candidats hors-univers, il arrive également que des magasins dont les concessionnaires partent à la retraite soient repris par d’autres
membres du réseau à l’exemple du magasin de Montélimar repris par les concessionnaires de Nîmes et Alès, mais aussi par des salariés du magasin comme à Céret où le poseur a repris la suite. Enfin, les enfants des concessionnaires Arthur Bonnet reprennent souvent le point de vente de leurs parents, soucieux de faire perdurer l’
entreprise familiale, comme à Biarritz, Versailles et Rennes.
Un délai d’ouverture à définir et une formation facilitée
Un projet d’ouverture d’un nouveau magasin nécessite
plusieurs mois de développement du fait des nombreuses étapes inhérentes à la création d’un point de vente. Reprendre un magasin demande par définition un délai plus court étant donné que le magasin est déjà existant et les modes de fonctionnement déjà définis si l’équipe reste en place.
Après une création de magasin, il faut compter environ 3 mois pour poser les premières cuisines, le temps de réceptionner les premières commandes des clients et donc de facturer. Dans le cas d’une reprise, les poses et la
facturation commencent dès le lancement.
Même si le délai de mise en place est plus rapide lors d’une reprise, une attention particulière est accordée chez Arthur Bonnet à la
formation des nouveaux concessionnaires. Les repreneurs sont accompagnés pendant environ 6 mois par leurs prédécesseurs et le réseau leur met à disposition un
large catalogue de formations afin de se familiariser avec les produits, la méthode de vente etc.
Quelle que l’option que vous privilégiez, le réseau Arthur Bonnet vous propose de
nombreuses opportunités d’ouverture partout en France mais aussi de reprises du fait des nombreux départs à la retraite prévus au sein du réseau. N’hésitez pas à
nous contacter pour en savoir plus !